Mon déménagement, il y a maintenant quatre mois, fut un grand pas dans ma quête du minimaliste. J'ai vendu mon appartement de 65 m2 qui devenait notamment trop lourd au niveau des charges de copropriété.
Depuis juin, j'habite en colocation familiale une maison d'une centaine de mètres carrés où je dispose d'une chambre qui est également mon bureau, un petit salon-boudoir, une petite salle d'eau et des toilettes. Tous les autres espaces sont communs notamment la cuisine et le lieu où l'on dîne.
Un avant-goût de la tiny house. Il a fallu bien désencombrer avant le déménagement où j'ai dû avoisiner les 80 sacs poubelles.
J'ai été obligée de me séparer d'une partie de mon mobilier :
- ma table de basse de salon,
- ma commande ancienne,
- de la commode qui avait été offerte à ma fille pour sa naissance,
- de ma table à écrire
- de ma table et de mes tabourets de cuisine,
- du lustre de cuisine,
- du petit meuble dans ma cuisine,
- mon buffet,
- de ma bergère et de son pouf,
- mes bois de lit (maintenant j'ai un lit sur pieds et je vais acheter simplement une tête de lit - ça prend moins de place)
- mes bois de lit (maintenant j'ai un lit sur pieds et je vais acheter simplement une tête de lit - ça prend moins de place)
- des ciels de lits qui existaient dans nos chambres respectives.
Pour l'instant, il ne reste plus que ma table à volets qui est remisée dans le garage faute de lui avoir trouvé une place.
Quelques cartons subsistent également au grenier contenant des bibelots mais je suis en passe de faire un tri.
Début septembre, nous avons fait une bourse aux vêtements où nous nous sommes bien débarrassées des pièces vestimentaires que l'on ne souhaitait plus porter. Résultat : moins de choses dans les armoires et plus de sous sur le compte en banque.
Pourtant le tri est loin d'être fini car il reste encore de nombreuses choses dont j'aimerai me séparer...
Crédit photo : lebruitdesimages.com
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